Reveil matinal...

Invité

Stanislas aimait beaucoup faire la grasse matinée et rater la moitié de ses cours. Bah oui, mais qu'est ce que vous voulez, un père au chomage [qui ne recherche pas particulièrement un emploi ], une mère au foyer mais qui ne fait ni à manger, ni la vaisselle, ni étends le linge, mais par contre verifie si toutes les chaînes sont visibles durant toute la journée. C'est en lancant son reveil par dessus sa fenêtre ouverte que Stanislas Durstown, agé de 17 ans déclara que sa journée serait pourrie. Il venait de dormir 2 heures, et au moment où il rêvait être tranquille au bahamas, un son agacant qui "tutututut, tutututut, tututuBANG !!" Un coup de polochon digne d'un match de baseball. Il se leva avec la plus grande peine, fourra ses pieds dans ses chaussons bousillés par des morsures de chien, le pas traînant sur le parquet, quelques grognements et frottement de la nuque. Après une douche revigorante, il décida de descendre prendre l'air dans la grande cour. Un tee-shirt avec d'ecrit "Tu veux ma photo espece de babouin ?" et un short hawaïen, il aterissa dans la cour comme un alien. Il s'assit sur un banc et fixa un ecureuil grignotant quelque chose au pied de l'arbre. Il imaginait tout les supplices qu'il pourrait fiare subir à cet écureuil si il se rapprochait de 2 mètres. Il se contenta de pousser un soupir et resta pensif.

[liiiiiiiiiiiiiiibre !!!]

Invité

Yume assez tourmenté par les récents évènements qui venaient de se dérouler, bien entendu en sa défaveur, n'avait pu fermer l'oeil de la nuit.

Repassant son haut militaire gris moulant, il pensa que faire un peu d'exercice lui ferait du bien.
Bien entendu, dans l'après midi il dessinerait et enseignerait puisque cela était son travail.

Un soupir sortant d'entre ses lèvres, il s'étira langoureusement et sortit de sa chambre.
Un large pantalon de toile noir pour habillé le bas de son corps, il ressera la ceinture qui ceignait sa fine taille en traversant la cour.

Son attention fut porté soudainement sur une personne assise sur un banc, en pleine contemplation d'un écureuil.
A cette heure du matin, Yume se demandait qui cela pouvait bien être.

Il s'approcha et glissant une main dans ses longues mèches de cheveux chatains il salua l'interlocuteur.
De son éternel voix grave et chantante il laissa échapper un bonjour assez calme au lieu d'un salut tonique comme il en avait l'habitude.

Il fallait croire que tant qu'il avait pas bougé ses muscles rien ne lui allait.
Ses poings recouvert de mitaines en cuir noir s'accrochèrent à sa ceinture de tissu, et patiemment il attendit la réponse de son interlocuteur.